
Pour Jean Charles Hourcade la réussite du sommet de Copenhague dépendra de l'implication de la nouvelle administration américaine en terme de lutte contre le réchauffement climatique. Il rappelle que les années Bush ont correspondu à 8 ans d'immobilisme sur ce sujet. Sachant cela, il lui semble plus réaliste d'attendre de Copenhague la mise en place de nouveaux outils de négociations, plutôt qu'un hypothétique traité juridique contraignant.
Il revient par la suite sur la question essentielle du financement de l'adaptation des économies des pays du SUD. Au delà du chiffre avancé par la Banque Mondiale de 200 à 400 milliards d'euros nécessaires à cette adaptation, Jean Charles Hourcade estime qu'il faut une réorientation massive de l'épargne mondiale vers ce secteur.
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